C’est indéniable, les époques changent et cela se reflète également dans le domaine des prêts immobiliers. Une combinaison de tendances démographiques, de transformations sociétales et de facteurs économiques redessine le paysage : rendant la souscription de prêt tardive plus fréquente que jamais. Et pourtant, n’est-ce pas une bonne chose ?
Au cours des dernières années, la tendance a été pour les propriétaires à contracter des prêts immobiliers plus tard dans leur vie. Ce phénomène est largement dû à l’augmentation de l’espérance de vie et au désir de maintenir un certain niveau de vie à la retraite. Les normes sociétales concernant l’accession à la propriété évoluent également. Les gens préfèrent louer plus longtemps ou vivre dans des logements alternatifs avant de faire le grand saut vers l’accession à la propriété.
Il est tout à fait compréhensible que l’idée de souscrire un prêt immobilier en fin de vie puisse sembler intimidante. Cependant, il y a plusieurs raisons pour lesquelles cela ne devrait pas être une source d’inquiétude. Premièrement, la loi protège les emprunteurs âgés et assure qu’ils ne seront jamais obligés de rembourser plus que la valeur de leur maison. Deuxièmement, les conditions du marché peuvent être favorables.
C’est ici qu’intervient le concept du taux des crédits immobiliers. Il s’agit d’un indicateur clé qui détermine combien vous allez payer en intérêts sur votre prêt. Actuellement, avec les taux des crédits immobiliers qui se stabilisent, c’est une période idéale pour envisager un prêt immobilier. (suite…)
Journaliste économique, Sarah explore les marchés et l’actualité des entreprises.